Kaleb, tome 1
- Myra Eljundir
- Myra Eljundir
Editeur : Robert Laffont
Parution : 2012
Pages : 442
J'achète : Broché 18€ (ici)
Parution : 2012
Pages : 442
J'achète : Broché 18€ (ici)
✰ SYNOPSIS :
C'est si bon d'être mauvais...
SAISON 1.
À 19 ans, Kaleb Helgusson se découvre empathe : il se connecte à vos émotions pour vous manipuler. Il vous connaît mieux que vous-mêmes. Et cela le rend irrésistible. Terriblement dangereux. Parce qu'on ne peut s'empêcher de l'aimer. À la folie. À la mort.
Sachez que ce qu'il vous fera, il n'en sera pas désolé. Ce don qu'il tient d'une lignée islandaise millénaire le grise. Même traqué comme une bête, il en veut toujours plus. Jusqu'au jour ou sa propre puissance le dépasse et ou tout bascule... Mais que peut-on contre le volcan qui vient de se réveiller?
SAISON 1.
À 19 ans, Kaleb Helgusson se découvre empathe : il se connecte à vos émotions pour vous manipuler. Il vous connaît mieux que vous-mêmes. Et cela le rend irrésistible. Terriblement dangereux. Parce qu'on ne peut s'empêcher de l'aimer. À la folie. À la mort.
Sachez que ce qu'il vous fera, il n'en sera pas désolé. Ce don qu'il tient d'une lignée islandaise millénaire le grise. Même traqué comme une bête, il en veut toujours plus. Jusqu'au jour ou sa propre puissance le dépasse et ou tout bascule... Mais que peut-on contre le volcan qui vient de se réveiller?
✰ Ma CHRONIQUE :
Kaleb est un personnage intéressant, dont on voit les émotions se détériorer à une vitesse vertigineuse. Il passe d'un adolescent plein de joie de vivre, à un homme froid et sans émotions. C'est d'ailleurs comme cela que j'ai fini ce roman ; sans la moindre sensation, et ce, tout du long. Je n'ai ressentie aucune attache avec quelque personnage que ce soit, je n'ai pas eu de frissons. Rien ne m'a accroché, et pourtant, ce livre m'a fasciné. Je ne saurais dire pourquoi, mais il fallait que je le finisse. C'était comme si Kaleb prenait aussi possession de nous, et de nos états d'âme.
Je mettrais le colonel Karl Bergson dans le même registre que Kaleb, mais en pire, puisque lui n'hésite pas à torturer et à tuer sans scrupules. Cependant, en apprenant le fond de l'histoire, on arrive à comprendre un peu mieux ses réactions et ce qu'il est devenu.
Abigail quant à elle, est sûrement celle qui dévoile un peu plus de sa carapace de froideur, et qui est sans cesse dans le flou, bien plus que Kaleb ne peut l'être bien qu'il découvre son talent d'empathe précipitamment.
L'histoire en elle-même, avec cette part de mythologie sur ces fameux « enfants du volcan » est plutôt bien amenée et organisée, si bien qu'on y croirait presque ! Mais, quelques détails me titillent, avec parfois trop de... de trop justement ! Et quelques fois, tout est prévisible, ce qui est bien dommage.
La fin nous amène sur une suite que l'on a envie de découvrir et je pense, que c'est tout ce qui compte pour qu'une saga fonctionne, bien que ce ne soit pas un coup de coeur pour ma part ! Une lecture fluide dans l'ensemble.
Je mettrais le colonel Karl Bergson dans le même registre que Kaleb, mais en pire, puisque lui n'hésite pas à torturer et à tuer sans scrupules. Cependant, en apprenant le fond de l'histoire, on arrive à comprendre un peu mieux ses réactions et ce qu'il est devenu.
Abigail quant à elle, est sûrement celle qui dévoile un peu plus de sa carapace de froideur, et qui est sans cesse dans le flou, bien plus que Kaleb ne peut l'être bien qu'il découvre son talent d'empathe précipitamment.
L'histoire en elle-même, avec cette part de mythologie sur ces fameux « enfants du volcan » est plutôt bien amenée et organisée, si bien qu'on y croirait presque ! Mais, quelques détails me titillent, avec parfois trop de... de trop justement ! Et quelques fois, tout est prévisible, ce qui est bien dommage.
La fin nous amène sur une suite que l'on a envie de découvrir et je pense, que c'est tout ce qui compte pour qu'une saga fonctionne, bien que ce ne soit pas un coup de coeur pour ma part ! Une lecture fluide dans l'ensemble.
© Solène
★★★★★
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